La santé sexuelle composante du bien-être ou comment la médecine a rompu avec l’Eglise, avec Alain Giami, psychosociologue

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La santé sexuelle composante du bien-être
ou comment la médecine a rompu avec l’Eglise

avec Alain Giami, psychosociologue

En 1974, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnaissait la notion de « santé sexuelle », sous l’influence de sexologues genevois, comme le Dr. Willy Pasini. Par cette « composante du bien-être, la médecine a rompu avec le camp de l’Eglise catholique », remarque Alain Giami, psychosociologue et directeur de recherche à l’Institut National de la Santé Et de la Recherche Médicale (INSERM).

Pourquoi cette notion de santé sexuelle a-t-elle pris à l’origine aux Etats-Unis, pays plutôt puritain ? Faut-il parler de droits sexuels ou de libertés sexuelles ? Y a-t-il encore des tabous dans la sexualité, avec le handicap ou les seniors notamment ? La pornographie modifie-t-elle la représentation de la sexualité et les comportements sexuels ? Doit-on protéger l’intégrité physique ou respecter l’identité, comme dans les cas des mutilations génitales ?

Croisé à Genève, lors d’un séminaire réservé aux professionnels de la santé, le célèbre praticien français a bien voulu accorder une interview exclusive à Radio Zones.

Interview : Jean Musy
Réalisation technique : Cyril Cailliez


Alain Giami
Photos : © Jean Musy (2017)

Mardi 13 février 2018

Clés de Lecture

La santé sexuelle composante du bien-être
ou comment la médecine a rompu avec l’Eglise

avec Alain Giami, psychosociologue
et directeur de recherche à l'INSERM