Après les catastrophes nucléaires de Fukushima (2011) et de Tchernobyl (1986), 35 ans après l’Appel de Genève pour l’arrêt et le démantèlement du surgénérateur de Super-Phénix, à Creys-Malville (France), une quarantaine de personnalités suisses et françaises demandent « l’arrêt sans délai du nucléaire » aux autorités fédérales et aux parlementaires suisses.
Dans une lettre adressée aux Conseil fédéral, le 14 septembre dernier, les signataires issus du monde scientifique, politique et de la société civile, estiment que tant que la Suisse « n’aura pas renoncé à ses centrales nucléaires, les Suisses continueront d’être à la merci d’un accident ou d’un attentat nucléaires ».

Ivo Rens, professeur honoraire de l’Université de Genève et signataire du premier appel de Genève en 1978, nous explique pourquoi cet Appel 2 est lancé maintenant et les objectifs visés par ses signataires.

Voir l’appel sur le blog : 
www.apag2.wordpress.com

Reportage sur Fukushima avec Ivo Rens

Interview : Jean Pélichon

Réalisation technique : Cyril Cailliez